Présentation de l’initiative européenne : « Taxons la spéculation »
MARDI 20 JUIN – 20H30
Présentation de l’initiative européenne : « Taxons la spéculation »
MARDI 20 JUIN – 20H30
Présentation de l’initiative européenne : « Taxons la spéculation »
Dans un monde en permacrise, il était inévitable d’affronter une crise démocratique. Non pas que ce phénomène soit nouveau, il nous guettait, endormi avec parfois quelques soubresauts. Ces derniers mois ont été le théâtre d’affronts démocratiques pluriels qui ont considérablement érodé la confiance du peuple envers ses institutions.
Nous remettons en cause le système patriarcal, enraciné dans toutes les sphères de notre société. Sa destruction doit être au cœur de nos préoccupations. Pour détruire le patriarcat, encore faut-il penser comment le détruire. Nous proposons alors quelques réflexions.
Les Jeunes Socialistes doivent militer pour l’autonomie des jeunesses. Des jeunesses, car il n’existe pas une jeunesse uniforme vivant et pensant la même chose.
“On nous dit que les prisons sont surpeuplées. Mais si c’était la population qui était suremprisonnée ?” – Manifeste du Groupe d’information sur les prisons (G.I.P), 1971
Dans sa circulaire de mars 2014 sur la lutte contre l’immigration illégale, Valls se félicitait du fait que « le niveau total des éloignements forcés [avait] atteint son plus haut niveau depuis 2006 ».
En 2023, notre combat est plus important que jamais. Emmanuel Macron, sa première ministre et son gouvernement continuent de nous asphyxier avec des politiques néolibérales qui défendent les intérêts des plus riches, des plus gros pollueurs, au détriment du bien commun et de la planète.
Les Jeunes Socialistes tiennent leur premier congrès depuis leur placement sous tutelle et ont voté pour définir leur ligne politique. Ce congrès est un moment clé pour l’organisation, il était essentiel que les Jeunes Socialistes puissent se réunir pour débattre et déterminer leur ligne politique.
A l’approche du congrès des Jeunes socialistes, un collectif de militants rassemblés sur un plan d’action national dénommé La Vie en rose expose, dans une tribune pour « Le Monde », ses propositions pour une « refondation » de ce mouvement.